L’Eyjafjördur est un fjord avec des montagnes relativement hautes des deux côtés. Comme il a neigé sur les hauteurs, l’effet est encore plus impressionnant. Il fait beau mais très froid et le vent souffle fort.
Port de pêche de Hjalteyri
À Hjalteyri se trouvent des anciennes industries du poisson avec des racks de séchage pour le poisson. Les coordonnées géographiques de la jetée du port sont 65.851214, -18.191951.
Avant, on séchait beaucoup le poisson, mais de nos jours cela se fait plus rarement. Nous en avons vu aussi à l’Île Langbakken en Norvège.
Certains des racks semblent avoir été remis en état à des fins touristiques.
Le poisson séché a déjà été retiré, il ne reste que quelques têtes.
L’industrie poissonnière à Hjalteyri a été abandonnée en 1966. Comme le matériau de construction préféré est le béton armé, toute construction perdure presque éternellement.
Le phare métallique de Hjalteyri date de 1920 et il est toujours en activité.
Dalvík dans l’Eyjafjördur
À Dalvík, on cherche à prendre un bateau pour aller voir les baleines (et pour ne pas aller là où tout le monde va, c’est à dire Husavík), mais nous ne trouvons personne sur place. Soit le seul prestataire est sorti en mer, soit le service est arrêté ici.
Nous nous efforçons donc de rechercher les baleine de terre. La route au nord de Dalvík monte un peu en hauteur et on a en principe une bonne vue sur l’entrée du fjord Eyjafjörður. Les coordonnées géographiques sont par exemple 66.0237, -18.5176. On peut aussi bien s’arrêter à l’aire de pique-nique au sud du tunnel.
Mais les distances sont très grandes et les jumelles ne suffisent pas à voir une baleine au loin. Nous pensons cependant qu’il n’y en avait pas à ce moment, sinon il y aurait peut-être eu des départs d’excursions pour les voir.
Ces rochers se trouvent au milieu de l’entrée du fjord et sont marqués par un phare orange de 1951.
Le fjord est impressionnant par ce beau temps.
La cascade en bas donne directement dans la mer.
Ólafsfjördur
Pour rejoindre l’Ólafsfjördur, il faut traverser un tunnel vers la gauche et donc vers l’ouest. De l’autre côté, le mauvais temps règne déjà.
Sur la ferme de Karlsá, désormais abandonnée vivait Eyvindur Jonsson de 1678 à 1746. Il semble avoir été un des premiers à construire des bateaux pour la haute mer avec un pont couvert.
Vu la météo, nous ne poussons pas l’exploration plus loin sur les petites routes. Nous nous réfugions dans l’unique café du village. Les gérants sont surpris de notre visite, car peu de touristes avancent jusqu’ici.
Nous retournons ensuite vers Akureyri pour continuer notre route vers l’est. La météo ne se prête qu’à rouler.
A la sortie des villes, on trouve des panneaux électroniques qui affichent la force du vent et de la température sur les cols ou les points exposés comme les caps sur la route plus loin devant. Ici, le vent est affiché à 3m/s venant de nord-ouest et il fait 9°C au col. Les deux dernières places indiquent les pointes de la vitesse du vent en rouge (pas actifs ici), dans ce cas il vaut mieux éviter de prendre cette route. En général, il n’y a pas d’alternative, alors il faut attendre.
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