Il pleut et il nous reste une fin d’après-midi. La seule chose à faire: rouler pour être au sec et au chaud. La seule route praticable dans les environs que nous ne connaissons pas encore est celle du Cap Vattarnes.
Reyðarfjörður
Le Reyðarfjörður forme la mer au nord du Cap Vattarnes. Nous sommes sur la route 955 près de la ferme délaissée d’Eyri.
En bas le Cap Hólmaborgir, avec le Hólmatindur dans les nuages, sépare le plus large Reyðarfjörður à gauche de l’Eskifjörður à droite au fond.

Cap Hólmaborgir. Photo © André M. Winter
Au centre l’avancée de terre Gríma avec un feu (phare).

Côte sud du Reyðarfjörður. Photo © André M. Winter

Cap Gríma sur la côte sud du Reyðarfjörður. Photo © Alex Medwedeff
Dans les fjords de l’est, il y a beaucoup de fermes abandonnées.

Ferme abandonnée d’Eyri. Photo © André M. Winter

Ferme abandonnée d’Eyri. Photo © André M. Winter

Alex caresse les naseau de chevaux d’Islande. Photo © André M. Winter

Cheval islandais bicolore. Photo © Alex Medwedeff

Cheval d’Islande. Photo © Alex Medwedeff

Cheval islandais. Photo © Alex Medwedeff
Ces airelles ressemblent un peu aux myrtilles sauvages des Alpes. Principales différences: chair blanche et aucun goût.

Airelles islandaises. Photo © André M. Winter

Cap Fles sur la côte nord du Reyðarfjörður. Photo © Alex Medwedeff
Les moutons n’aiment pas nager.

Clôture allant jusque dans la mer. Photo © Alex Medwedeff
Fáskrúðsfjörður
Le Fáskrúðsfjörður forme la mer au sud du Cap Vattarnes. Fáskrúðsfjörður (parfois appelé Buðir) est aussi un village de 600 habitants qui accueillit des marins français venant pêcher sur les côtes islandaises sur une période allant du 19e siècle jusqu’en 1914. Fáskrúðsfjörður signifie Fjord des Français. Le village abrite un musée rappelant les liens franco-islandais locaux, les panneaux de signalisation sont inscrits en deux langues: français et islandais. Source: Wikipédia

Drapeau français à Fáskrúðsfjörður. Photo © André M. Winter

Panneaux de signalisation bilingues à Fáskrúðsfjörður. Photo © André M. Winter
Dans les silos se trouve de la farine de poisson. Ce n’est donc pas la forme la plus noble de poisson qui est traitée ici.

Port de l’industrie poissonnière de Fáskrúðsfjörður. Photo © André M. Winter
Sur la route 1 et par un tunnel, nous retournons à Eskifjörður et au camping.
À droite le Daladalur (le point noir est l’entrée du tunnel menant à Reyðarfjörður. À gauche la sortie de la vallée vers le Fáskrúðsfjörður et la mer.

Panorama du Stuðlaheiði. Photo © André M. Winter
Au retour, on lavera la voiture une deuxième fois pour la journée car on ne veut pas être trop sales dans les cales du bateau qui nous ramènera au Danemark. Ce n’est pas une question d’esthétique mais parce que les voitures y sont très serrés et tout le monde s’y frotte en accédant aux autres voitures. Cette fois-ci c’est à Alex de s’y mettre.
Ensuite nous rangeons au mieux nos affaires pour le lendemain. Le matin du départ nous plions bien sûr la tente de notre fils et l’auvent en leur état bien trempés. Nous les déballerons trois jours plus tard au nord de l’Allemagne.
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