Nous avons vu un panneau expliquant l’origine de l’eau aux Thermes de Constantin et nous avons donc cherché ces vestiges romains dans la plaine au sud de Fontvieille l’après-midi du même jour. Bien que le site soit connu et visité de beaucoup de monde, il n’y aucun parking tout près, cela vaut encore en 2020.
Il y a une partie au nord de la Route de l’Aqueduc.

Aqueduc de Barbegal. Photo © André M. Winter

Double aqueduc de Barbegal. Photo © André M. Winter
Au sud de la route, on avance vers les parties intéressantes, il n’y a pas seulement un aqueduc.

Vestiges de l’aqueduc romain de Barbegal. Photo © André M. Winter

Aqueduc de Barbegal pour alimenter Arles. Photo © André M. Winter
L’aqueduc de Barbegal était un ouvrage complexe, composé de deux aqueducs parallèles, en partie sur arches, l’un conduisant l’eau potable vers la cité d’Arles à partir de la chaîne des Alpilles, le second alimentant une meunerie. Source Wikipédia.

Saignée de l’aqueduc de Barbegal. Photo © André M. Winter

Saignée de l’aqueduc de Barbegal. Photo © André M. Winter
Un groupe touristique en bus bloque sérieusement la vue…

Saignée de l’aqueduc de Barbegal. Photo © André M. Winter
La meunerie pouvait produire 4,5 tonnes de farine par jour, de quoi alimenter les 12500 habitants de la ville d’Arles de cette époque. Toutefois, pour Henry-Paul Eydoux, la meunerie de Barbegal était: une affaire d’État, relevant vraisemblablement du service de l’annone, produisant pour les subsistances militaires et le ravitaillement officiel, avec une grande partie de la production réservée à l’exportation. Source Wikipédia.

Pente de la meunerie de l’aqueduc de Barbegal. Photo © André M. Winter
Vue retour du haut de la meunerie.

Vestiges de l’aqueduc romain double de Barbegal. Photo © André M. Winter

Aqueduc romain double de Barbegal. Photo © André M. Winter
Sur le chemin du retour.

Aqueduc de Barbegal. Photo © André M. Winter

Oliviers biologiques à Barbegal. Photo © Alex Medwedeff
No Comments