La Darse
Quai Jean-François Layrle, Pointe-à-Pitre, Grande Terre, Guadeloupe, Antilles françaises, France, Union Européenne
La halle présente une charpente en bois sans doute ancienne, mais la base est formé de béton armé. Les grandes ouvertures de la halle de marché sont fermés par des grilles. L’essentiel du marché se tient cependant devant sur la place et sur les quais.

Bassin de la Darse vue par le grillage de la halle du marché. Photo © André M. Winter
À gauche: visiblement soucieux de l’alimentation des habitants, on trouve des tables de composition des aliments sur plusieurs marchés en Guadeloupe. Le tableau est assez complet, mais difficile à lire.

Table de composition des aliments de Guadeloupe. Photo © Alex Medwedeff

Marché de la Darse vu de la halle. Photo © André M. Winter

Alex achète de produits locaux au marché de la Darse. Photo © André M. Winter
La vendeuse est vêtue de tissus locaux. Elle a insisté pour se faire photographier.

Vendeuse au marché de la Darse. Photo © Alex Medwedeff

Légumes au marché de la Darse de Pointe-à-Pitre. Photo © Alex Medwedeff

Cabosses de cacao, caramboles, mangues et tomates. Photo © Alex Medwedeff

Cabosses de cacao. Photo © Alex Medwedeff

Halle du marché de la Darse. Photo © André M. Winter
Quand on achète du poisson sur les Quais de la Darse, on les reçoit tels que pêchés.

Vente de la pêche à la Darse de Pointe-à-Pitre. Photo © André M. Winter

Vente de poissons à la Darse de Pointe-à-Pitre. Photo © André M. Winter
On achète les poissons, puis on les passe à des stands différents où on laisse écailler et vider les poissons contre une faible contribution.
À droite: sur la table devant se trouve une brosse à écailles faite de capsules de bouteilles de bière.

Écailleur de poissons sur le port de Pointe-à-Pitre. Photo © Alex Medwedeff

Préparateur de poissons sur le port de Pointe-à-Pitre. Photo © Alex Medwedeff
À gauche: les pélicans ne craignent pas l’homme.
À droite: ces poissons se ressemblent, mais il y dans ce bac au moins quatre sortes différentes.

Pélican brun à la Darse. Photo © Alex Medwedeff

Bac de poissons en vente à la Darse de Pointe-à-Pitre. Photo © Alex Medwedeff
À gauche: ces poissons frais ont des couleurs très vives, virant souvent au rouge.

Poissons colorés vendus à la Darse de Pointe-à-Pitre. Photo © Alex Medwedeff

Poissons vendus à la Darse de Pointe-à-Pitre. Photo © Alex Medwedeff
On veut y acheter une canne à sucre à grignoter, mais on nous l’offre carrément.

Vente de jus de canne frais. Photo © André M. Winter
L’immeuble du Mémorial ACTe (Centre caribéen d’expressions et de mémoire de la Traite et de l’Esclavage) présente une façade minérale (comme celle du MuCEM de Marseille) avec un entrelac d’acier argenté recouvrant un granit noir serti d’éclats de quartz. L’architecture du bâtiment repose sur le concept de racines d’argent sur une boîte noire: les racines d’argent qui surmontent le bâtiment représentent les millions d’âmes disparues accrochée à une boite noire. Ces racines font référence à celles du figuier maudit, qui prospère en enserrant des ruines, les protégeant ainsi de l’anéantissement. Ces racines sont en effet devenus une résille qui protège un écrin mais permet de se projeter dans le futur. Ces racines invoquent donc la quête des origines et suggèrent ainsi un élan, une croissance, un mouvement pour rayonner sur le monde. En protégeant la boîte noire, elles sont la garante de la mémoire. La boîte noire abrite l’exposition permanente et représente ainsi le socle renfermant la richesse que constitue la connaissance du passé et sur lequel se construit en partie la mémoire collective. La façade noire quartzée de cette boite est un hommage aux victimes de la traite et de l’esclavage, la constellation quartzée représentant les millions d’âmes disparues (source Wikipédia).

Immeuble du Mémorial ACTe à Pointe-à-Pitre. Photo © Alex Medwedeff
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