La journée est avancée et après Oviedo et le Cabo de Peñas, nous cherchons simplement un camping pour une douche chaude. Nous avançons de quelques kilomètres le long de la côte jusqu’à Candás, c’est à mi-chemin entre le Cabo de Peñas et Gijón. En premier lieu, nous rendons visite au phare.
Le Phare de Candás sur le Cabo de San Antonio
La vue retour en direction du Cabo de Peñas.
La vue vers l’est et notre route de demain. Mais ce ne sera pas si bleu cependant.
Au camping Perlora
Le Camping Perlora se trouve sur un cap et en cette saisons on n’y est pas encore serré. Il convient cependant faire attention au vent quand on se met devant en haut. Il fait beau jusqu’au soir, mais il ne fera pas assez chaud pour dîner dehors. Les sanitaires sont corrects, mais tout est assez cher.
Les vues du camping sont thématiquement rangés dans les transports. Le petit train longeant la côte serait bien sympa à prendre. Il s’agit d’une ligne à voie métrique opérée par la société Ferrocarriles de vía estrecha. On voit une reconstruction de 2006 de rames de la série MAN 2300 qui remontait à 1966.
Au large circulent des navires reliant Gijón.
Un navire néerlandais de 2015 de 120 mètres de long.
Un navire grec de 2016 de 200 mètres de long.
Le lendemain, le ciel est couvert et nous continuons d’avancer vers l’est en ignorant la ville de Gijón qui est surtout industrielle. En passant justement cette ville, nous étudions les panneaux publicitaires et les indications routières qui sont toutes bilingues espagnol et asturien. Il nous semble que la langue locale soit une simplification de l’espagnol, tout son compliqué est remplacé par un X, ainsi Gijón s’écrit Xixón.
Cabo Lastres
Le phare de Lluces est un peu décevant, il est de 1993 et donc très récent et moderne. Le cap n’est pas très prononcé, et la météo n’arrange pas les choses.
La vue vers l’est, c’est notre route, affiche une lueur bleue au loin.
Mirador de San Roque à Llastres
On a théoriquement une bonne vue sur le village et la montagne, mais ce ciel couvert ternit les couleurs et obstrue complètement les pics.
Il pleut légèrement et nous n’avons même pas envie de visiter le village qui a pourtant l’air sympa. Nous y tournons quand même en voiture à la recherche d’une boulangerie. Nous en trouvons une qui ressemble plutôt à une fabrique de pain dans un garage, mais on nous y vend du pain bien blanc, très léger et peu nourrissant, mais croustillant.
Nous continuons vers l’est où nous retrouvons un peu de soleil en milieu d’après-midi aux bufones de Pría.
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