Nous rejoignons le cap sud-est de la presqu’île de Lerici, c’est notre tout dernier échappée avant de reprendre l’autoroute pour renter au Tyrol.
Vue sur les Alpes Apuanes
La route fait des lacets en descendant de Montemarcello vers le cap et nous avons une vue époustouflante sur cette partie de l’Apennin. La particularité au nord est de Carrare sont bien sûr les mines de marbres blanches qui élargissent en quelque sorte le manteau blanc neigeux des sommets.
La Punta Bianca
On gare le véhicule au bout de la Strada Punta Bianca et on commence la descente sur une piste regagnée par la végétation. Elle passe entre des ruines de bergeries et des de casemates d’au moins deux guerres mondiales. Une plaque rappelle un fait qui semble être un accrochage normal, mais c’est bel et bien un crime de guerre comme il a été perpétré par les allemands si souvent. Des adversaires pris sont à faire prisonniers et non pas à fusiller. Le texte de la plaque: « In questo logo vennero fucilati il 26 marzo 1944 dai nazisti i 15 militari italo-americani della missione Ginny. OSS Society e Comune di Ameglia. Nel 60° anniversario 26 marzo 2004 ».
Plus bas le chemin se faufile entre les rochers et on arriver près de l’eau. La Punta Bianca en soi est sympa, mais mais ce sont surtout les vagues qui frappent le cap ce jour-ci qui nous impressionnent.
André tente de braver la vague.
Nous remontons vers le point de départ et nous rentrons par la voie directe (Parme) à la maison. Au Tyrol, il fait beau, mais l’hiver est rigoureux.
– FIN –
No Comments