Nous partons de la région nantaise directement à la maison nous prévoyons de passer la nuit quelques part au nord du Jura, en tout cas nous voulons rouler aussi longtemps que possible mais passer la dernière nuit en France. Bien sûr, nous n’arrivons pas à partir très tôt et midi est déjà bien passé quand nous sommes dans la région de Tours. Sur ce chemin vers l’est de près de 1400 kilomètres, nous nous arrêtons donc déjà Amboise car c’est un des rares châteaux que nous n’avons pas encore vu le long de la Loire. On fait qu’une courte balade en ville et quelques courses.
Nous sommes garés au grand parking entre la Loire et la ville. Le ciel est plus couvert que dégagé.
Le château, ou ce qui en reste prône haut au-dessus de la ville, il n’est pas à rater. Nous entrons dans la ville pour l’approcher d’abord par le nord, puis nous passons sur la grande Place Michel Debré qui longue la château au sud.
Nous passons dans les ruelles du centre pour revenir au parking au bord de la Loire.
Au bord du Doubs
Nous nous remettons en route pour quelques 550 kilomètres jusqu’à la fin de jour. L’application park4night nous révèle une place tranquille au bord du Doubs. Curieusement, la baignade y est interdite. Des cyclistes (on est sur une portion de piste cyclable) on planté leur tente à quelques dizaines de mètres. La nuit est bien tranquille, on n’entend pas la route et les passages de trains en face sont rares.
La route du jour suivant, c’est à dire le 3 juin 2018, passe par Orléans, Besançon, Mulhouse et le nord du Lac de Constance pour rentrer au Tyrol. Même si cela occasionne un majeur détour, nous ne voulons pas passer par la Suisse. Nous avons pas mal de bouteilles de Porto, de vin portugais et français dans nos scoutes et comme nous n’avons pas conservé tous les tickets de caisse ni bien cachés tous ces alcools dans le camion, nous ne voulons pas risquer de payer des taxes inutiles aux douanes suisses. On ne nous a jamais contrôlés, mais nous ne voulons pas nous gâcher inutilement le 68e et dernier jour de ce grand tour au Portugal.
En bas l’accueil du vieux portable à la maison qui n’en peut plus de passer les frontières et les différents réseaux.
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