Nous arrivons assez tôt au camping au sud de Porto. La procédure d’enregistrement est peu chaleureuse, on nous dicte simplement les conditions et le prix non sans nous faire attendre inutilement. La condition la plus contraignante, mais qui ne nous gène pas, est l’obligation de rester au moins deux nuits, c’est justement ce que nous avons prévu. Bien sûr, nous restons ce minimum de nuits et ceci n’améliore pas l’humeur de la femme à l’accueil. On nous assigne une place pas trop mauvaise, même si elle est composée plus de boue que d’herbe.
Deux grands avantages: une belle plage pour les couchers du soleil et un bus de ligne direct pour le centre-ville de Porto (voir en bas de page). Deux points noirs aussi: des crottes de chien un peu partout et des sanitaires trop petits dans un état complètement lamentable même s’il y a de l’eau chaude à discrétion.
Nous ouvrons quand même notre porto le dégustions tout de suite dans les verres fraîchement achetés à la visite des caves Ferreira. C’est une des rares fois que la marque du porto correspond à celle du verre. On peut bien acheter du porto chez nous au Tyrol, mais on ne trouve pas la marque Ferreira à moins de la commander au prix cher.
Coucher de soleil à la Praia de Salgueiros
Le bus entre le camping et la station Batalha
Le bus a son terminus à la plage sous le camping. À l’aller en direction ville, il passe plus près du camping. En 2018, il porte le numéro 15, il semble que ceci ait changé depuis. Peut-être aussi le matériel roulant. Bien que ce modèle soit en bon état, il a près de 40 ans en 2018, ne dispose d’aucune électronique et peu rouler les portes ouvertes. Il semble que l’on l’emploie sur cette ligne qui passe dans les ruelles très étroites des quartiers de Vila Nova de Gaia.
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