Nous avançons vers l’est et nous traversons une nouvelle perturbation pluvieuse sans perspective d’amélioration avant le surlendemain. Nous repérons donc un camping quelconque ouvert dans une région, les points importants étant des douches chaudes et de l’électricité pour le chauffage.
Le Camping San Rafael à Foz est notre choix et nous en sommes assez contents. Le propriétaire est tout autant désolé de le météo que nous. L’herbe des places est très verte et humide, il est difficile de s’y placer dans labourer la terre imbibée d’eau. Nous restons deux nuits et pour André, cette pause est la bienvenue, car il peut enfin guérir son grave rhume. Le camion et André ne bougent pas du camping pendant 36 heures.
Lors d’une accalmie, Alex va faire un tour le long de la côte jusqu’à la ville et revient avec des viennoiseries de la petite ville de Foz. Elle revient par le long de la route et la pluie se remet à tomber.
Le hórreo maçonné et en bois se trouve entre la Rúa Asilo et la Rúa Cervantes, c’est à la hauteur de la pharmacie.
Si quelqu’un se demande si la ville s’appelle vraiment uniquement Foz, la réponse est oui. Même l’estuaire de la petite rivière qui s’élagrit avant de se déverser dans la mer s’appelle Ría de Foz. C’est bien sûr une tautologie et sans nom spécifique: « foz » signifie simplement « estuaire » et « ría » est un estuaire allongé.
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