Le village est à moitié caché sous les surplombs de son rocher. Une grande partie des maisons colle même à la paroi et cela épargne ainsi la construction d’un mur et d’une moitié de toit.
Avenue de la Préhistoire avec la paroi rocheuse des Eyzies. Photo © André M. Winter
Une petite maison sous l’escarpement des Eyzies. Photo © André M. Winter
Rocher au-dessus de l’Abri Pataud. Photo © André M. Winter
Rocher au-dessus de l’accueil de l’Abri Pataud. Photo © André M. Winter
Chemin au-delà de la Rue du Moyen-Âge. Photo © André M. Winter
Paroi en surplomb des Eyzies. Photo © Alex Medwedeff
Les parois laissent apparaître des traces d’anciennes constructions comme des toits placés initialement plus hauts comme sur la photo ci-bas à droite
Surplombs des Eyzies. Photo © Alex Medwedeff
Traces d’habitat troglodytique aux Eyzies. Photo © Alex Medwedeff
Maisons rénovées et traces d’habitat troglodytique aux Eyzies. Photo © André M. Winter
Nous n’allons pas voir le Musée national de la Préhistoire même si ses locaux sont placés de manière originale.
Partie ancienne du musée de la Préhistoire. Photo © André M. Winter
Rocher des Eyzies. Photo © Alex Medwedeff
Avenue de la Préhistoire. Photo © André M. Winter
Maisons à colombages. Photo © Alex Medwedeff
Rocher troué des Eyzies. Photo © Alex Medwedeff
Nous redescendons au centre du village et cherchons à gagner un peu de distance pour voir la falaise dans son ensemble. Il n’y a pas de point idéal pour cela, nous montons finalement sur le talus de la voie ferrée.
Rocher au-dessus des Eyzies. Photo © André M. Winter
Rocher calcaire des Eyzies. Photo © Alex Medwedeff
Panorama du Rocher des Eyzies. Photo © André M. Winter
Ballast sur le pont ferroviaire sur la Vézère. Photo © André M. Winter
Nous cherchons un lieu pour un casse-croûte, mais n’en trouvons pas. À la place, nous découvrons une église fort originale.
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