Port-Louis offrirait une belle église, surtout vue de l’intérieur, mais elle est fermée, il n’y a même pas un trou de serrure pour y jeter un œil. Pendant que des touristes sont attablés au restaurant en bord de mer par 35°C, j’observe de nouveau plutôt les pélicans bruns et leur méthode de chasse en plongeon.
À gauche: les pélican brun juvénile sont gris.
À droite: le phare moderne est sans lanterne, monté sur un cadre en béton armé et peint en jaune et noir. Le phare n’est pas placé près du port qui se trouve plus loin au sud.
En bas un pélican brun adulte en période de reproduction (cou arrière brun foncé). Initialement parti de la surface de l’eau, il prend de hauteur maintenant.
Les pélicans bruns survolent la surface de l’eau à la recherche de proies sous l’eau.
D’une hauteur de 30 mètres, ils se laissent littéralement tomber le bec à la tête devant et replient progressivement les ailes. Il doivent donc souvent remonter de la surface de l’eau.
Port-Louis
Rue de la République, Port-Louis, Grande Terre, Guadeloupe, Antilles françaises, France, Union Européenne
Il y a une plage plus grande plus au nord, mais en ville, il faut stabiliser le rivage.
À gauche la Pointe Allègre du nord de Basse Terre, à droite les contours flous de Montserrat.
Le Presbytère est dans une belle case créole à un étage et bien entretenue.
L’église a subi deux séismes, trois cyclones et deux incendies, la charpente métallique de 1894 est cependant toujours en place. Elle est malheureusement fermée à la visite hors des offices.
On arrive malheureusement trop tôt, les cuisses de poulet ne sont pas encore prêtes. Ce n’est pas toujours facile de s’en procurer des marchands de rue car souvent toute une partie est déjà réservée à l’avance.
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