Nous sommes sur la route en direction de Seville que nous prévoyons de visiter demain.
Setenil de las Bodegas
Notre guide de voyage nous préconise de passer par Setenil de las Bodegas. Le village blanc est effectivement étrangement blotti à l’intérieur des gorges du Río Guadalporcún. Beaucoup de maisons sont accolées directement à la falaise et n’ont donc pas de mur arrière. Dans la Calle de la Mina, une partie sous le surplomb de la falaise se passent même de toit. Actuellement la ville vit essentiellement de l’agriculture (olive), et du tourisme.
Les photos sont prises de la route principale Ca-9113 qui passe au sud du canyon. On en voit bien sur la ville dans les gorges et la plaine planté d’oliviers à perte de vue.
Vue sur Setenil de las Bodegas. Photo © André M. Winter
Les maisons du canyon de Setenil de las Bodegas. Photo © André M. Winter
Les maisons de la Calle de la Mina à Setenil de las Bodegas. Photo © André M. Winter
Les maisons blanches de Setenil de las Bodegas. Photo © André M. Winter
Setenil de las Bodegas. Photo © André M. Winter
Nous nous arrêtons Santuario de Nuestra Señora de los Remedios, un site de pèlerinage du 17e siècle. L’église au style andalou est remplie de kitsch et d’ex-voto. Mais c’est aussi un bon point de vue par-dessus le haut plateau vers notre prochain site.
Olvera
Olvera sur sa colline. Photo © André M. Winter
Le Castillo Mauro de Olvera. Photo © Alex Medwedeff
La ville blanche est construite sur le rocher dominé par le fort arabe et la cathédrale classiciste qui est fondée sur une mosquée. Le site existe au début du Moyen-Âge, mais ce sont les arabes qui la bâtissent principalement. Olvera était une étape de la route de contrebande entre Ronda et Morón de la Frontera.
Les maisons blanches d’Olvera. Photo © Alex Medwedeff
Camping de Dos Hermanas
Nous prenons un camping au sud-est de Séville avec une liaison en bus pour la visite de la ville le lendemain. La rumeur dit qu’il est dangereux de laisser la voiture dans la ville de Seville, mais nous ne pouvons pas du tout confirmer cela. Le camping à l’Avenida de la Libertad 13 est assez médiocre. Il a beaucoup plu avant notre arrivée et toute la place est un terrain boueux et il est bruyant car il se trouve entre l’autoroute, le chemin de fer et une autre voir rapide. On ne trouve le soleil qu’avec des boules quiès. Les installations sont d’un autre âge, mais comme on est seuls, on peut choisir parmi toutes les douches celle qui est la moins ventée. Le camping n’existe plus depuis plusieurs années.
Au Camping Motel Club de Campo à Dos Hermanas. Photo © André M. Winter
Le trajet en bus fonctionne assez bien, il y a une ligne directe vers l’arrêt Real Fábrica de Tabacos au centre-ville. L’arrêt du bus est marqué par le camping, il n’y a aucun autre signe officiel d’un arrêt.
Arrêt de bus à Dos Hermanas. Photo © Alex Medwedeff
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